Pêche scientifique

Pour protéger les milieux marins, la recherche scientifique sur les écosystèmes marins revêt une importance capitale, car la disponibilité des connaissances est plus limitée qu’en milieu terrestre. Favoriser la recherche scientifique est donc une volonté clairement identifiée par les décideurs et le ministère Pêches et Océans Canada. Le milieu marin dont le golfe du Saint-Laurent et la côte Atlantique sont reconnus pour leur grande diversité biologique, encore faut-il la connaître. Une multitude d’activités humaines y sont en outre pratiquées : marine marchande, plaisance, pêche récréative, pêche commerciale, récolte de mollusques. Dans ce contexte, il importe de définir les composantes écologiques et humaines du territoire et leurs interactions afin d’évaluer les impacts des activités anthropiques, l’efficacité des mesures de gestion et les retombées des actions et des réglementations mises en place par le gouvernement dans l’atteinte des objectifs de protection. La science peut grandement contribuer à identifier les menaces, à gérer les risques, à évaluer l’efficacité des mesures de gestion et à favoriser la protection du milieu marin. L’acquisition de nouvelles connaissances permet notamment de développer des mesures de gestion innovantes.

TH MR et Groupe GID s’associent ensemble afin d’offrir des services de suivi environnemental et de recherche scientifique. Les possibilités de projets sont immenses. Par exemple, ils peuvent répondre à des inquiétudes des riverains ou des pêcheurs sur la qualité de l’environnement. Ils peuvent aussi répondre à des besoins en matière de connaissance sur l’état des stocks d’une zone en particulier.

Selon les besoins, Groupe GID établit un protocole solide en collaboration avec des institutions de recherche (universités, ministères, organismes non gouvernementaux), embauche des biologistes, des techniciens et des équipages, forme le personnel et soutient les promoteurs dans la recherche de permis scientifique et les demandes de financement. Se voulant à la fois proactifs et adaptatifs, les besoins en recherche scientifique doivent répondre aux enjeux écologiques, économiques ou sociaux émergents et être en mesure de saisir les nouvelles opportunités qui se présentent.